jeudi 12 août 2010

Sweden - day 5

Début de journée horrible, sous une pluie battante. Direction Stockholm, donc, en se disant qu'on se fera un musée et du shopping...On retourne se garer vers le Nobelpark, comme le premier jour, histoire de payer un peu moins de 30 euros la journée de parking...Östermalm direction Nybrogatan, où l'on avait repéré pas mal de restos. En chemin, on croise les gardes du palais royal en route pour leur caserne, marrant. Une fois sur place, on se dirige vers la halle située en contrebas du resto-buffet de la veille: épiceries fines, poissonneries, fromageries, spécialités suédoises, italiennes et françaises aussi...assez classe. Et restos dont un franchement chicos qui nous fait gravement de l'oeil. Une demi-heure de queue qu'on oubliera assez vite devant les meilleurs poissons qu'on mangera de tout le séjour. L'ardoise est plus salée qu'un mauvais saumon fumé, mais ça valait le coût.
On se décide ensuite pour la visite du Vasamuseet. Sur le chemin, on repasse par le Strandvägen, une des avenues les plus recherchées de la ville. On a appris par le guide d'hier que Björn Borg, des membres d'Abba ou de Roxette (eeeeek!) y ont des appartements. Plein de bateaux très anciens et très chouettes amarrés devant les quais, et soleil revenu, j'aime.
Le Vasa est dingue. Les Suédois ont réussi à faire d'une sacrée blague et d'un épisode peu glorieux un musée magnifique et pédagogique: le plus grand navire de guerre du début du 17ème siècle qui sombre tout seul comme un grand au bout d'une petite demi-heure dans l'eau pour une ridicule histoire de poids mal équilibré (trop de canons, merci le roi abruti qui y tenait absolument). Le bordel reste 3 siècles dans la flotte, et dans les années 50, ils le sortent impec' et décident de l'exposer.
Tout est reconstitué, depuis le récit du naufrage et du contexte de l'époque (1.5 millions de Suédois qui font la guerre à la moitié de l'Europe), à la vie à bord. Génial.
On ressort se boire une bière au bord de l'eau, au soleil couchant. La good life, enfin gott liv, comme ils disent.






















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